Trop peu de PME prennent en compte la dimension cognitive dans leurs offres alors même que l’Humain doit être l’élément central qui guide leur développement et leurs ambitions. Pour passer à l’acte et préparer le coup d’après, l’une des pistes est de regarder du côté de la recherche en sciences cognitives, qui, en France, est particulièrement prolifique et avancée.
Toutes les entreprises, des plus grandes aux plus petites, annoncent mettre le facteur humain au cœur de leur stratégie, de leurs valeurs, de leurs préoccupations et de leurs activités. On ne compte plus les baselines et autres mantras sur le sujet.
Pourtant, en 2023, les offres de produits et services, les innovations et les organisations restent essentiellement portées par la technologie. Quant aux sciences et technologies cognitives – qui analysent les facultés humaines d’interaction avec tous les types d’environnements et développent des technologies adaptées – elles sont encore trop peu exploitées par les entreprises alors même que la recherche dans les laboratoires français est foisonnante et en avance sur beaucoup de leurs homologues internationaux.
Quand la technologie oublie l’Humain
Les derniers développements de l’IA générative sont une expression patente de ce décalage. Si l’outil fascine par ses capacités, qui semblent infinies, de production de textes, d’images ou encore de code informatique, il continue de reposer sur une approche purement algorithmique et reste encore, en réalité, loin de remplacer les capacités d’analyse et d’interaction humaines.
L’intégralité de l’article et tribune rédigé par Célestin Sedegbo est à découvrir sur gpo.fr